|
|
| Un Chef-d'oeuvre d'Architecture Militaire
(XV-XVIe siècles) |
|
Bâti par Bérenger de Roquefeuil, un puissant baron du Midi de la France. il constitue
le dernier témoignage de la fortification médiévale en même temps qu'il annonce un
nouveau type de défense reposant sur l'utilisation des armes à feu. Son charme
exceptionnel, dû à sa situation isolée au coeur d'un arrière-pays où l'arbre est roi,
en fait un vrai château de rêve. Visite guidée tous les jours sauf en décembre et
janvier. A la mi-juillet : embrasement du château et le Festival de Bonaguil se déroule
en août.
|
|
 |
|
|
|
|
|
Cité Médiévale du Périgord - Classé Grand site National
Créée en 1284, sous le règne d'Edouard Ier, Monpazier est l'une des bastides les mieux
conservées du grand Sud-Ouest. En 1637, à la suite d'une grande révolte paysanne, on y
roua vif Buffarot, le chef des Croquants. Sa place principale, servit de lieu de tournage
à de nombreux films de cape et d'épée. En septembre-octobre, pour les amateurs de
champignons : marché aux cèpes.
|
|
|
|
|
|
|
La Bastide de
Villeréal |
|
|
Villeréal fut
crée par Alphonse de Poitiers en 1267. La bastide devait
constituer une ligne (défensive ?) avec Castillonnès et
Saint-Gemme qui se trouve en Gironde pour bien montrer aux anglais
qui étaient en Périgord que ces lieux "bastides" étaient en
France. La bastide comptait huit tours et les murs étaient ceints
de fossés. A la mort d'Alphonse de Poitiers, Villeréal (ville
royale) passait sous domination anglaise. |
|
|
|
|
| |
Classé Monument Historique :
Son histoire est liée à la grandeur d'une famille, les Gontaut-Biron, qui tint
le fief durant huit cents ans. Chaque siècle entre le XIIe et le XVIIIe, a laissé son
empreinte, évoquant
les vicissitudes de cet édifice monumental... Venez y découvrir les
décors du film "Les Visiteurs II" (la rue des
tanneurs, la chambre de
Sieur Godefroy, l'atelier du potier, l'auberge, l'antre du sorcier et l'indispensable
salle de torture sont bien là) !
|
|
Une
flèche dans le cœur
Le célèbre roi
Richard Cœur de Lion est mort à une portée de flèche de la
Dordogne. Nous sommes en 1199, en campagne limousine, et le roi
marche vers Chalus-Chabrol. Il veut donner une leçon au vicomte
de Limoges, Adhémar V, allié du roi de France, qui a des
châteaux à Piégut, Nontron et Chalus-Chabrol.
Richard Cœur de
Lion veut faire le ménage sur ses propres fiefs. Lors du siège
du château de Chalus-Chabrol, le vendredi 26 mars 1199, alors
que la chute de la fortification n’est qu’une question d’heures,
il reçoit par imprudence une flèche d’arbalète.
La gangrène
apparaît dans la vilaine blessure. Sa mère
Aliénor d’Aquitaine vient à son
chevet le mardi 6 avril au matin. Le soir Richard Cœur de Lion
meurt des suites de ses blessures. Il avait 41 ans. Son corps
reposera à Fontevrault près de son père, son cœur dans la
cathédrale de Rouen. Ses entrailles sont enterrées dans la
chapelle de Chalus-Chabrol.
Histoire en Aquitaine
Légendes
Traditions |
|
|
Accueil